- SerafForgeur Expert
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Mémoires de Farès Bellis
Dim 8 Juil 2018 - 22:23
1. Rencontre à Charogne
Ca secoue sec... Voila quelques semaines déjà que je suis parti avec ce transport venu me chercher sur Sturm pour aller rencontrer cet oracle qui aurait eu des visions me concernant. La destination était une planète portant le doux nom de Charogne. C'est la bas que j'ai rencontré les autres. Otto Von Eisenfaust et son collègue Wolfgang von Wand, Sera Hilde, Hans von Bürger et Sigmund Appelstein. Les deux premiers sont des renégats de l'empire à ne pas y douter, Hans un supermarine disciple de Khorne sans doutes aucun tout comme ce Sigmund qui, lui, semble plutôt vénérer Nurgle. Sera Hilde m'intrigue encore, difficile de connaitre ses allégeances, puis je n'ai pas vraiment envie de lui parler. Il semblerait que nous fassions tous partie de cette sois disant prophétie...
C'est devant cette auberge ou nous étions tous regroupés qu'un pauvre abruti est venu haranguer la foule pour prendre part à un combat contre sa personne. Il se disait disciple de Crocs... bon... j'ai "motivé" ce Sigmund à faire taire cet énergumène dehors qui dérangeait au possible. Ça n'a pas traîné... j'aurais bien voulu prendre contrôle de ce crétin pour me mesurer à Sigmund par "personne interposée" mais l'énergie n'y était pas. J'aurai juste pris soin de récupéré l'arme de ce malheureux, c'est déjà ça de pris...
Une nuit de repos me fera du bien.
2. L'oracle du temple des mensonges
Un papier nous attendait de bonne heure posé sur la table avec une convocation pour chacun d'entre nous. Après discussion avec la faune locale il semblerait que cela n'arrive pas régulièrement que des étrangers soient ainsi convoqué chez l'oracle au temple des mensonges. J'ai du me retenir de rire quand Sera a essayé d'embrocher le premier passant venu, le pauvre a couru si vite qu'aucun tir n'a pu le toucher.
On a dépêché un homme du nom d'Orick pour faire le chemin de la ville au temple. La faune, la vraie cette fois, étant trop dangereuse pour sortir sans transport. Soit. On a quand même du s'arrêter en chemin à cause d'un vaisseau crashé pile poil sur la seule issue possible. En plus de cela la balade à pied n'a pas été de tout repos et nous avons du combattre une nuée de chérubins.
Le temple des mensonges est immense. C'est un vaisseau spatial dont la carcasse a presque entièrement été convertie en temple. L'intérieur est un dédale sans fin de salles, couloirs, escaliers,... C'est à s'y perdre et ça n'a pas manqué. Après un passage par l'intendante Elika et l'aide du guide Elrick nous avons enfin pu rencontrer l'Oracle.
Après quelques échanges un serviteur est venu chercher l'Oracle. C'est lors de son absence qu'un groupe a détruit la verrière au dessus de nous pour rentrer et nous attaquer. Le combat a été rude mais j'ai pu profiter de l'animation pour voler le livre de l'Oracle (le Torestus). Sera a, elle, dérobé une arme démon sur le corps d'une femme venue nous tuer.
En descendant nous avons surpris l'oracle en train d'annoncer notre mort à Lordgar, le primarque de la 17 ième compagnie (les Word Bearers). S'en est suivi un combat acharné entre cette compagnie et les membres du temps et entre l'Oracle et ce qui est depuis peu, les miens. L'oracle a fait apparaître une créature immense et c'est à Hans qu'on doit la mort de la créature et à Sera, celle de l'Oracle.
Les Word Bearers nous ont cordialement proposé de nous aider à nous rendre sur Malédixion.
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Re: Mémoires de Farès Bellis
Ven 3 Aoû 2018 - 15:46
3. De Orbis Mysteriis
Les word bearers nous on débarqué sur Malédixion, Wolfgang qui semblait mal du voyage a déclenché une sorte de panique idiote... Il a fait un pas de trop lorsqu'il a osé dire, publiquement en prime, qu'il voulait retourner dans l'empire... Ça n'a pas Traîné, l'homme attaché et questionné continuait ses délires, Sera l'a donc proprement égorgé, sa tête trône maintenant fièrement à sa ceinture. Il ira jusqu'au bout, d'une façon ou d'une autre...
Malédixion a du charme, non pour le patchwork plus ou moins stable (ou instable) de ses bâtiments mais bien pour la population de rebus qui occupe la planète. La vue de tous ces gens plus beaux les uns que les autres n'a pu me laisser échapper un sourire. Ils sont majoritairement difformes et mutés, très certainement bénis par le chaos et ils vivent là tels des animaux parqués, c'est affligeant, beau mais affligeant, soit... L'Orbis Mysteriis doit être ici, il n'y a plus qu'à trouver ce dont il s'agit...
On a fini par rentrer en contact avec un certain Corbin Brisemonde, un ancien membre de je ne sais plus quoi exactement, fait est qu'il passe son temps ici à jouer et à amasser du matériel, de l'argent et pleins d'autres objets plus différents les uns que les autres. Il semblait par contre bien au courant de nos identités présumées et disposé à la discussion autour d'un jeu de carte quelconque.
Je me suis prêté au jeu en suivant cette diablesse de Sera Hilde, elle a assurément le jeu dans le sang, je regrette déjà d'avoir participé tant elle fini toujours victorieuse.
L'Orbis Mysteriis ! Il est ici ! C'est un ouvrage que possédait ce Corbin Brisemonde. Sera à pu le gagner en même temps que nos équipement en jeu et un esclave du nom de Kahli. Voilà une bonne chose de faite mais le jeu n'est pas pour moi..
De retour à notre lieu de résidence Sera à tenté de lire l'Orbis Mysteriis sans succès. J'ai tenté ma chance à sa suite...
Indiscible, je ressors enfin de la trans dans laquelle l'ouvrage m'avait plongé, c'est si beau, si grand, si ambitieux... ce rituel complexe pouvant faire basculer une planète dans le warp c'est si... Nous deviendrions des dieux, nous mettrions à mal l'empire... c'est si exaltant... Il nous faut cependant respecter scrupuleusement le rituel, j'ai déjà communiqué la liste des ''ingredients'' à mes comparses mais il va nous falloir signer un pacte de sang et je n'ai aucune idée de quoi il s'agit...
Nous avons été retrouver Corbin, la question sur le pacte de sang a été mal reçue visiblement et un combat a eu lieu à la sortie, il faudra être plus discret à l'avenir.
Lorsque nous avons retrouvé Sera, celle-ci connaissait les modalités de la réalisation d'un pacte de sang. Le besoin du sang d'un impérial pour le pacte nous force à quitter l'oeil. Sera à proposé un enfant... Pourquoi pas ...
Nous avons trouvez des vaisseaux quittant la planète. Pendant que les autres partait sur l'un d'eux nous avons, Sera et moi, bu un tonneau d'alcool qu'elle avait échangé, la débauche est une belle occupation, le changement était louable.
Un vaisseau de commerce semble être la bonne solution pour tous. Allons réaliser le pacte !
Les word bearers nous on débarqué sur Malédixion, Wolfgang qui semblait mal du voyage a déclenché une sorte de panique idiote... Il a fait un pas de trop lorsqu'il a osé dire, publiquement en prime, qu'il voulait retourner dans l'empire... Ça n'a pas Traîné, l'homme attaché et questionné continuait ses délires, Sera l'a donc proprement égorgé, sa tête trône maintenant fièrement à sa ceinture. Il ira jusqu'au bout, d'une façon ou d'une autre...
Malédixion a du charme, non pour le patchwork plus ou moins stable (ou instable) de ses bâtiments mais bien pour la population de rebus qui occupe la planète. La vue de tous ces gens plus beaux les uns que les autres n'a pu me laisser échapper un sourire. Ils sont majoritairement difformes et mutés, très certainement bénis par le chaos et ils vivent là tels des animaux parqués, c'est affligeant, beau mais affligeant, soit... L'Orbis Mysteriis doit être ici, il n'y a plus qu'à trouver ce dont il s'agit...
On a fini par rentrer en contact avec un certain Corbin Brisemonde, un ancien membre de je ne sais plus quoi exactement, fait est qu'il passe son temps ici à jouer et à amasser du matériel, de l'argent et pleins d'autres objets plus différents les uns que les autres. Il semblait par contre bien au courant de nos identités présumées et disposé à la discussion autour d'un jeu de carte quelconque.
Je me suis prêté au jeu en suivant cette diablesse de Sera Hilde, elle a assurément le jeu dans le sang, je regrette déjà d'avoir participé tant elle fini toujours victorieuse.
L'Orbis Mysteriis ! Il est ici ! C'est un ouvrage que possédait ce Corbin Brisemonde. Sera à pu le gagner en même temps que nos équipement en jeu et un esclave du nom de Kahli. Voilà une bonne chose de faite mais le jeu n'est pas pour moi..
De retour à notre lieu de résidence Sera à tenté de lire l'Orbis Mysteriis sans succès. J'ai tenté ma chance à sa suite...
Indiscible, je ressors enfin de la trans dans laquelle l'ouvrage m'avait plongé, c'est si beau, si grand, si ambitieux... ce rituel complexe pouvant faire basculer une planète dans le warp c'est si... Nous deviendrions des dieux, nous mettrions à mal l'empire... c'est si exaltant... Il nous faut cependant respecter scrupuleusement le rituel, j'ai déjà communiqué la liste des ''ingredients'' à mes comparses mais il va nous falloir signer un pacte de sang et je n'ai aucune idée de quoi il s'agit...
Nous avons été retrouver Corbin, la question sur le pacte de sang a été mal reçue visiblement et un combat a eu lieu à la sortie, il faudra être plus discret à l'avenir.
Lorsque nous avons retrouvé Sera, celle-ci connaissait les modalités de la réalisation d'un pacte de sang. Le besoin du sang d'un impérial pour le pacte nous force à quitter l'oeil. Sera à proposé un enfant... Pourquoi pas ...
Nous avons trouvez des vaisseaux quittant la planète. Pendant que les autres partait sur l'un d'eux nous avons, Sera et moi, bu un tonneau d'alcool qu'elle avait échangé, la débauche est une belle occupation, le changement était louable.
Un vaisseau de commerce semble être la bonne solution pour tous. Allons réaliser le pacte !
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Re: Mémoires de Farès Bellis
Sam 4 Aoû 2018 - 2:37
4. Le Rite Of Fortune
On a finalement décidé de partir sur le Rite Of Fortune, un vaisseau spatial commercial qui nous semblait bien plus apte à nous mener à bon port sans être cueilli par les impériaux.
Sera, moi et Hans avons négocié notre présence à bord contre une année et demi de service chacun et la garantie que nous défendrons le vaisseau en cas d'attaque.
Un heretek du nom d'Osvald nous a conduit à nos quartiers sur le pont 13. Treize... Je ne suis pas superstitieux mais avec le recul je ne peux m'empêcher de penser que Tzeentch a toujours un plan et qu'il guide notre quête. Un choc immense à retenti dans le vaisseau et nous avons été pris au piège de la glace qui se répandait dans la pièce à cause d'une cuve d'azote liquide percée non loin.
Le réveil à été, certe douloureux, mais nous sommes tous en vie, notre nouveau comparse aussi, grâce à son aide. L'heretek, Osvald, connaissait le lieu ou se trouvait la salle de soin, cela a permis de récupérer pleinement de notre '' hibernation forcée ''. On a rapidement pu visiter le vaisseau désespérément vide de tout occupant, enfin... jusqu'à ce qu'on tombe sur des hommes revenu à l'état sauvage. Ce ne fut pas une opposition trop soutenue... Je fus cependant étonné de voir 3 corps brûlés par un sort, j'étais persuadé d'en avoir touché 2... Il y'a également une présence étrange dans le bâtiment, une magie diffuse dont je n'arrive pas à trouver la source.
Au centre du vaisseau le temple est immensément grand, nous avons réussi à passer pour trouver une porte titanesque close, la belle affaire... Demi tour pour repartir et les hommes nous sont tombé dessus, on souhaitais partir après avoir bien bataillé mais Hans était pris comme de frénésie et refusait qu'on quitte les lieux sans combattre. .. Nous avons donc massacré les quelques rescapés en infériorité qui courraient pour se mettre à l'abri... futile
Selon Osvald, l'ouverture de la porte serait possible depuis l'administration à l'avant du vaisseau... Je ne sais trop ce qui s'est passé par la suite, Hans semblait se prémunir d'un danger derrière la porte de l'administration en construisant des couvertures improvisées. Ça n'a pas manqué, derrière la porte se trouvaient 4 space marines et au moins une quarantaine d'hommes, Sera a ouvert les hostilités malgré une offre de pour parler et le combat à fait rage, on était mal engagé, en infériorité flagrante mais n'avons pas abandonné. Après m'être suffisamment approché j'ai pris part au combat à mon tour.
Je ne saurais trop dire ce qui c'est passé, le warp est parfois... Capricieux... J'ai erré un temps dans le warp avant de revenir au côté d'Osvald, de Sera et des trois space marines qu'on combattait précédemment. Hans et Otto ont ordonné de cesser le feu.
J'ai clairement raté un épisode, les corps de 40 soldats en pièces, une reine improvisée, Hans et Otto qui parlementent, on croirait une réalité alternative.
Cette reine nous a expliqué la situation... un prince démon serait à bord et aurait été enfermé derrière la porte face à laquelle nous butions. Ce démon, Karnak, aurait été à l'origine d'un beau bordel au sein de l'empire avant de disparaître.
Mon sang n'a fait qu'un tour, renvoyer ce prince démon dans l'empire serait une aubaine si celui-ci était ouvert à la proposition, je vais le tenter...
... Je l'ai tenté, il a accepté de semer le chaos dans l'empire contre sa libération et la mort de Heriburt Crane. qui semble être responsable de son emprisonnement ici, j' ai accepté également et Sigmund a libéré le démon prisonnier, non sans mal. Karnak cherchait un corps à posséder, nous avions 3 space marines à disposition, je lui ai proposé de prendre possession de l'un d'eux.
La suite fut un combat acharné contre Heriburt Crane et les 4 hommes avec lui. Le combat se conclu sur la mort du psycker et la traîtrise du démon devenu ennemi.
J'étais furieux, je tenais dans le creux de la main une possibilité de plus de semer le chaos au sein de l'empire, une opportunité de me faire remarquer de Tzeentch mais n'est pas conspirateur qui veut, j'aurai d'autres occasions, mon destin ne se jouera de toute façon pas ici, le maître du changement a d'autres desseins.
Le prince démon du chaos Karnak finit par périr par la main d'Otto. J'ai dû mal à me rejouir... C'est assurément du gâchis... Mais soit...
Il me semble avoir vu distinctement Osvald lancer un sort identique au miens, c'est peu commun pour un heretek, j'abmet même ne jamais en avoir vu, ni même entendu parler... Je ne manquerai pas de m'informer...
Je pensais avoir déçu le grand conspirateur, failli à une possibilité de plus d'instiller le chaos dans l'imperium, j'ai prié... encore... et encore... Tzeentch... Il m'a entendu....
On a finalement décidé de partir sur le Rite Of Fortune, un vaisseau spatial commercial qui nous semblait bien plus apte à nous mener à bon port sans être cueilli par les impériaux.
Sera, moi et Hans avons négocié notre présence à bord contre une année et demi de service chacun et la garantie que nous défendrons le vaisseau en cas d'attaque.
Un heretek du nom d'Osvald nous a conduit à nos quartiers sur le pont 13. Treize... Je ne suis pas superstitieux mais avec le recul je ne peux m'empêcher de penser que Tzeentch a toujours un plan et qu'il guide notre quête. Un choc immense à retenti dans le vaisseau et nous avons été pris au piège de la glace qui se répandait dans la pièce à cause d'une cuve d'azote liquide percée non loin.
Le réveil à été, certe douloureux, mais nous sommes tous en vie, notre nouveau comparse aussi, grâce à son aide. L'heretek, Osvald, connaissait le lieu ou se trouvait la salle de soin, cela a permis de récupérer pleinement de notre '' hibernation forcée ''. On a rapidement pu visiter le vaisseau désespérément vide de tout occupant, enfin... jusqu'à ce qu'on tombe sur des hommes revenu à l'état sauvage. Ce ne fut pas une opposition trop soutenue... Je fus cependant étonné de voir 3 corps brûlés par un sort, j'étais persuadé d'en avoir touché 2... Il y'a également une présence étrange dans le bâtiment, une magie diffuse dont je n'arrive pas à trouver la source.
Au centre du vaisseau le temple est immensément grand, nous avons réussi à passer pour trouver une porte titanesque close, la belle affaire... Demi tour pour repartir et les hommes nous sont tombé dessus, on souhaitais partir après avoir bien bataillé mais Hans était pris comme de frénésie et refusait qu'on quitte les lieux sans combattre. .. Nous avons donc massacré les quelques rescapés en infériorité qui courraient pour se mettre à l'abri... futile
Selon Osvald, l'ouverture de la porte serait possible depuis l'administration à l'avant du vaisseau... Je ne sais trop ce qui s'est passé par la suite, Hans semblait se prémunir d'un danger derrière la porte de l'administration en construisant des couvertures improvisées. Ça n'a pas manqué, derrière la porte se trouvaient 4 space marines et au moins une quarantaine d'hommes, Sera a ouvert les hostilités malgré une offre de pour parler et le combat à fait rage, on était mal engagé, en infériorité flagrante mais n'avons pas abandonné. Après m'être suffisamment approché j'ai pris part au combat à mon tour.
Je ne saurais trop dire ce qui c'est passé, le warp est parfois... Capricieux... J'ai erré un temps dans le warp avant de revenir au côté d'Osvald, de Sera et des trois space marines qu'on combattait précédemment. Hans et Otto ont ordonné de cesser le feu.
J'ai clairement raté un épisode, les corps de 40 soldats en pièces, une reine improvisée, Hans et Otto qui parlementent, on croirait une réalité alternative.
Cette reine nous a expliqué la situation... un prince démon serait à bord et aurait été enfermé derrière la porte face à laquelle nous butions. Ce démon, Karnak, aurait été à l'origine d'un beau bordel au sein de l'empire avant de disparaître.
Mon sang n'a fait qu'un tour, renvoyer ce prince démon dans l'empire serait une aubaine si celui-ci était ouvert à la proposition, je vais le tenter...
... Je l'ai tenté, il a accepté de semer le chaos dans l'empire contre sa libération et la mort de Heriburt Crane. qui semble être responsable de son emprisonnement ici, j' ai accepté également et Sigmund a libéré le démon prisonnier, non sans mal. Karnak cherchait un corps à posséder, nous avions 3 space marines à disposition, je lui ai proposé de prendre possession de l'un d'eux.
La suite fut un combat acharné contre Heriburt Crane et les 4 hommes avec lui. Le combat se conclu sur la mort du psycker et la traîtrise du démon devenu ennemi.
J'étais furieux, je tenais dans le creux de la main une possibilité de plus de semer le chaos au sein de l'empire, une opportunité de me faire remarquer de Tzeentch mais n'est pas conspirateur qui veut, j'aurai d'autres occasions, mon destin ne se jouera de toute façon pas ici, le maître du changement a d'autres desseins.
Le prince démon du chaos Karnak finit par périr par la main d'Otto. J'ai dû mal à me rejouir... C'est assurément du gâchis... Mais soit...
Il me semble avoir vu distinctement Osvald lancer un sort identique au miens, c'est peu commun pour un heretek, j'abmet même ne jamais en avoir vu, ni même entendu parler... Je ne manquerai pas de m'informer...
Je pensais avoir déçu le grand conspirateur, failli à une possibilité de plus d'instiller le chaos dans l'imperium, j'ai prié... encore... et encore... Tzeentch... Il m'a entendu....
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Re: Mémoires de Farès Bellis
Ven 5 Oct 2018 - 11:35
5. Port-Errance
Karnak Zul était vaincu. Le calme revenait à bord du Rite of Fortune.
Je me questionnais encore et encore sur les raisons de la trahison improductive de ce Démon. Quelque chose m’échappait à n'en point douter. Je fis la seule chose sensée à cet instant... j'implora Tzeentch... m'imprégna du Warp... mon appel parti dans les méandres de l'immatérium... "Pourquoi ?!"
Alors que je murmurais mon appel, ma transe prit fin rapidement. Un objet venait de tomber non loin de moi. Un bâton noir que seul moi semblais remarquer. J'approcha...
De prime abord ce n'était qu'un simple bâton au milieu des vestiges du combat qui avait eu lieu mais lorsque ma main toucha l'objet, les murmures devinrent incessants... Murmures, rage, douleur. Le bâton se transforma sous mes yeux ébahis. C'était un sceptre, une arme démon, de couleur bleu et or dont les multiples renfoncements faisaient maintenant place à une multitude d'yeux rouges me foudroyant du regard, au dessus de tous trônait un œil unique bleu rappelant la marque de Tzeentch... je ne serai plus jamais seul.
Je compris rapidement le cadeau qui me fut offert. Le démon venant d'être tué était la entre mes mains m'incendiant du regard de toute sa haine alors que celui trônant à son sommet me regardait fixement.
Nous étions donc en route pour Port-Errance, Osvald et d'autres avait vainement tenté de modifier les coordonnées de vol pour pointer notre destination. Hans et Sera se baladaient à bord du vaisseau pendant qu'Osvald et Otto planifiaient le vol. Un vaisseau si grand, si complexe leur donnait visiblement du fil à retordre.
Un cri venait de retentir en bas, et le relief d'un combat se fit vite entendre, je courus. Sera était proprement en train de trancher la gorge d'un space marine alors que Hans semblait peiner au combat, une première... Les yeux de mon sceptre s'attardèrent longtemps sur Hans, le dévisageant de toute leur haine, confirmant l'identité du démon piégé à l'intérieur. Je remontis alors sur le pont ou les deux compères avaient enfin réussi à planifier le vol vers Port-Errance.
Le temps passa... Chacun œuvra dans son coin à une activité ou l'autre... je me chargeais de "nettoyer" du mieux que je pouvais les salles ou avait eu lieu un carnage. Centraliser les corps, leur faire faire visiter l'espace une dernière fois... ce n'était pas vraiment de tout repos.
Arrivé à destination un message de la station se fit entendre. Elle nous enjoignait à attendre à distance l'inspection... Plus de 200 hommes fouillant le Rite of Fortune n'était pas vraiment une perspective enviable pour nous, surtout au vu des corps qui restaient encore içi et la et au deux Space marine qui composaient nos rangs...
L'un de nous eu une idée, Osvald je crois, de sorte qu'on pu échapper à la grosse inspection imminente contre une inspection minime qui aurait lieu bien plus tard, moment ou nous serions déjà loin.
On se mit donc en quête dans la station d'une personne pouvant acheter le stock d'arme que l'on possédait à bord, déguisé bien évidemment.
C'est au cours de nos recherche qu'une personne sembla nous fixer du regard. Elle découvris sa main pour la mettre en évidence. Elle était difforme, témoignant de sa nature. Nous comprîmes le geste comme étant amicales et destiné à attirer notre attention... On suivit donc ce personnage étrange qui nous guida vers une porte donc la serrure anormale était parfaitement adaptée à la difformité de la main de cet étranger. On pénétra à l'intérieur.
On fut accueilli par ce qui semble être une slaaneshite du nom de D'somer. Elle fut visiblement très heureuse de nous recevoir au vu de notre réputation. Elle représentait avec un autre individu du nom de Borschmann un collectif portant le nom de "La cour des plaisirs et des délices". Un banquet devait avoir lieu bientôt, banquet au cours duquel les tensions seraient très fortes entre D'sommer, la slaaneschite et Borschmann, nouvellement converti à Nurgle. D'somer promit de l'aide pour rejoindre Saint-Annard et nous ajoutâmes également à la liste des requêtes un enfant en bas âge destiné au pacte de sang à venir. Elle s'engagea à respecter les termes de l'accord. Nous n'avions qu' à inciter Borschmann à pratiquer son culte répugnant ailleurs qu'à la cour des délices et des plaisir même si il en fut le fondateur.
On fut invité à se changer avant "les festivités" et un événement imprévu eut lieu devant moi. Osvald enleva une partie de ses vêtements pour laisser entrevoir la marque de Tzeentch lui recouvrant le dos... j'étais à genoux, c'était donc pour ça... Sigmund fut prit de rage à la vue de la marque. Je venais juste de comprendre la nature d'Osvald et son lien avec le maître du changement. Il avait reçu la marque, l'un de ses plus beau cadeau, alors qu'il n'était qu'un simple hérétek. Cela m'imposait le respect.
Entre temps on retourna au vaisseau, je fis un rituel pour maudire les 12 cierges que j'avais accumulé jusqu'à maintenant (Nous en avions maintenant 15, bien assez pour le rituel)
On chercha tj des contacts pour vendre des armes mais cela ne m'intéressant que peu je n'y prêtait pas attention outre mesure.
Le banquet eu lieu comme prévu. J'étais installé en bonne compagnie près de D'somer et Osvald à ma gauche. Les pauvres Sera et Hans seraient juste à coté de l'ignoble et suppurant Borschmann, cela m'amusa un peu.
Tout le monde mangea. Il y avait de tout, du bon et le reste... Sera manga de l'inquisiteur cuit sous vide et une sorte de tentacule qui continuait de se tortiller sur le bâton ou elle était embrochée. Fort heureusement les mets devant nous étaient plus habituels. Borschmann commença les hostilité en invoquant son droit de disposé de la cour comme il l'entendait en diffusant ses pratiques en son sein, D'Somer réagit vivement.
Borschmann appuyait le fait que "Papa" lui accordait une immunité contre toutes sortes de maladies et l'autorisait à tester des mets qu'aucun n'aurait pu goûter jusque la sans défaillir ou périr. C'était donc ça les motivations de ce personnage grotesque... devenir un gros porc à la digestion imperturbable... Cela commençait à m'irriter... quels idéaux de pacotilles !
Chacun alla de son avis contre cet individu à l'exception de Sigmund qui semblait comprendre les frasques délirantes de ce répugnant personnage. Borschmann restait insensible à nos argumentations en faveur de l'un ou l'autre Dieu mais comment pourrait t'il seulement envisager Tzeentch quand son seul intérêt est de consommer toujours plus. Je du me résigner à tout changement.
Face à l'opposition majoritaire des nôtres Borschmann accepta de se retirer avec ses fidèles sans (trop) faire de scandales. J'espère sincèrement ne plus avoir à croiser cet immonde créature.
D'Somer et les siens étaient en liesse. La cour des plaisirs et des délices perdurerait. Elle respecta ses accords et nous pûmes obtenir le voyage jusqu'à Saint-Annard.
L'un des serviteurs arriva également avec l'enfant tant attendu qui servit au rituel. Nous signâmes chacun le pacte, Osvald également. Je ne pense pas lui avoir déjà fait part de notre mission, de la chose incroyable que nous allions mener à bien. Je doute qu'il refuse une telle chose, surtout s'il peut le faire au nom de Tzeentch. Je me réjouis qu'il soit avec nous et des choses que nous allons accomplir
Karnak Zul était vaincu. Le calme revenait à bord du Rite of Fortune.
Je me questionnais encore et encore sur les raisons de la trahison improductive de ce Démon. Quelque chose m’échappait à n'en point douter. Je fis la seule chose sensée à cet instant... j'implora Tzeentch... m'imprégna du Warp... mon appel parti dans les méandres de l'immatérium... "Pourquoi ?!"
Alors que je murmurais mon appel, ma transe prit fin rapidement. Un objet venait de tomber non loin de moi. Un bâton noir que seul moi semblais remarquer. J'approcha...
De prime abord ce n'était qu'un simple bâton au milieu des vestiges du combat qui avait eu lieu mais lorsque ma main toucha l'objet, les murmures devinrent incessants... Murmures, rage, douleur. Le bâton se transforma sous mes yeux ébahis. C'était un sceptre, une arme démon, de couleur bleu et or dont les multiples renfoncements faisaient maintenant place à une multitude d'yeux rouges me foudroyant du regard, au dessus de tous trônait un œil unique bleu rappelant la marque de Tzeentch... je ne serai plus jamais seul.
Je compris rapidement le cadeau qui me fut offert. Le démon venant d'être tué était la entre mes mains m'incendiant du regard de toute sa haine alors que celui trônant à son sommet me regardait fixement.
Nous étions donc en route pour Port-Errance, Osvald et d'autres avait vainement tenté de modifier les coordonnées de vol pour pointer notre destination. Hans et Sera se baladaient à bord du vaisseau pendant qu'Osvald et Otto planifiaient le vol. Un vaisseau si grand, si complexe leur donnait visiblement du fil à retordre.
Un cri venait de retentir en bas, et le relief d'un combat se fit vite entendre, je courus. Sera était proprement en train de trancher la gorge d'un space marine alors que Hans semblait peiner au combat, une première... Les yeux de mon sceptre s'attardèrent longtemps sur Hans, le dévisageant de toute leur haine, confirmant l'identité du démon piégé à l'intérieur. Je remontis alors sur le pont ou les deux compères avaient enfin réussi à planifier le vol vers Port-Errance.
Le temps passa... Chacun œuvra dans son coin à une activité ou l'autre... je me chargeais de "nettoyer" du mieux que je pouvais les salles ou avait eu lieu un carnage. Centraliser les corps, leur faire faire visiter l'espace une dernière fois... ce n'était pas vraiment de tout repos.
Arrivé à destination un message de la station se fit entendre. Elle nous enjoignait à attendre à distance l'inspection... Plus de 200 hommes fouillant le Rite of Fortune n'était pas vraiment une perspective enviable pour nous, surtout au vu des corps qui restaient encore içi et la et au deux Space marine qui composaient nos rangs...
L'un de nous eu une idée, Osvald je crois, de sorte qu'on pu échapper à la grosse inspection imminente contre une inspection minime qui aurait lieu bien plus tard, moment ou nous serions déjà loin.
On se mit donc en quête dans la station d'une personne pouvant acheter le stock d'arme que l'on possédait à bord, déguisé bien évidemment.
C'est au cours de nos recherche qu'une personne sembla nous fixer du regard. Elle découvris sa main pour la mettre en évidence. Elle était difforme, témoignant de sa nature. Nous comprîmes le geste comme étant amicales et destiné à attirer notre attention... On suivit donc ce personnage étrange qui nous guida vers une porte donc la serrure anormale était parfaitement adaptée à la difformité de la main de cet étranger. On pénétra à l'intérieur.
On fut accueilli par ce qui semble être une slaaneshite du nom de D'somer. Elle fut visiblement très heureuse de nous recevoir au vu de notre réputation. Elle représentait avec un autre individu du nom de Borschmann un collectif portant le nom de "La cour des plaisirs et des délices". Un banquet devait avoir lieu bientôt, banquet au cours duquel les tensions seraient très fortes entre D'sommer, la slaaneschite et Borschmann, nouvellement converti à Nurgle. D'somer promit de l'aide pour rejoindre Saint-Annard et nous ajoutâmes également à la liste des requêtes un enfant en bas âge destiné au pacte de sang à venir. Elle s'engagea à respecter les termes de l'accord. Nous n'avions qu' à inciter Borschmann à pratiquer son culte répugnant ailleurs qu'à la cour des délices et des plaisir même si il en fut le fondateur.
On fut invité à se changer avant "les festivités" et un événement imprévu eut lieu devant moi. Osvald enleva une partie de ses vêtements pour laisser entrevoir la marque de Tzeentch lui recouvrant le dos... j'étais à genoux, c'était donc pour ça... Sigmund fut prit de rage à la vue de la marque. Je venais juste de comprendre la nature d'Osvald et son lien avec le maître du changement. Il avait reçu la marque, l'un de ses plus beau cadeau, alors qu'il n'était qu'un simple hérétek. Cela m'imposait le respect.
Entre temps on retourna au vaisseau, je fis un rituel pour maudire les 12 cierges que j'avais accumulé jusqu'à maintenant (Nous en avions maintenant 15, bien assez pour le rituel)
On chercha tj des contacts pour vendre des armes mais cela ne m'intéressant que peu je n'y prêtait pas attention outre mesure.
Le banquet eu lieu comme prévu. J'étais installé en bonne compagnie près de D'somer et Osvald à ma gauche. Les pauvres Sera et Hans seraient juste à coté de l'ignoble et suppurant Borschmann, cela m'amusa un peu.
Tout le monde mangea. Il y avait de tout, du bon et le reste... Sera manga de l'inquisiteur cuit sous vide et une sorte de tentacule qui continuait de se tortiller sur le bâton ou elle était embrochée. Fort heureusement les mets devant nous étaient plus habituels. Borschmann commença les hostilité en invoquant son droit de disposé de la cour comme il l'entendait en diffusant ses pratiques en son sein, D'Somer réagit vivement.
Borschmann appuyait le fait que "Papa" lui accordait une immunité contre toutes sortes de maladies et l'autorisait à tester des mets qu'aucun n'aurait pu goûter jusque la sans défaillir ou périr. C'était donc ça les motivations de ce personnage grotesque... devenir un gros porc à la digestion imperturbable... Cela commençait à m'irriter... quels idéaux de pacotilles !
Chacun alla de son avis contre cet individu à l'exception de Sigmund qui semblait comprendre les frasques délirantes de ce répugnant personnage. Borschmann restait insensible à nos argumentations en faveur de l'un ou l'autre Dieu mais comment pourrait t'il seulement envisager Tzeentch quand son seul intérêt est de consommer toujours plus. Je du me résigner à tout changement.
Face à l'opposition majoritaire des nôtres Borschmann accepta de se retirer avec ses fidèles sans (trop) faire de scandales. J'espère sincèrement ne plus avoir à croiser cet immonde créature.
D'Somer et les siens étaient en liesse. La cour des plaisirs et des délices perdurerait. Elle respecta ses accords et nous pûmes obtenir le voyage jusqu'à Saint-Annard.
L'un des serviteurs arriva également avec l'enfant tant attendu qui servit au rituel. Nous signâmes chacun le pacte, Osvald également. Je ne pense pas lui avoir déjà fait part de notre mission, de la chose incroyable que nous allions mener à bien. Je doute qu'il refuse une telle chose, surtout s'il peut le faire au nom de Tzeentch. Je me réjouis qu'il soit avec nous et des choses que nous allons accomplir
- SerafForgeur Expert
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Re: Mémoires de Farès Bellis
Dim 9 Déc 2018 - 10:05
6. Bellum Commercum
D'Somer s'est avérée une allié de choix pour parvenir à nos fin, je me réjouis déjà de l'avoir préféré à ce répugnant Borschmann.
Nous nous retrouvons, grâce à son aide, à bord d'un vaisseau de commerce du nom de Bellum Commercum faisant escale à Saint-Annard. Le plan est simple et ne devrait normalement pas avoir à subir la moindre anicroche. Nous représenterons des inquisiteurs en visite sur la planète prison, sachant que les vrais, eux, n'arriveront que bien plus tard, 1 semaine après.
C'est donc en inquisiteur de l'Empire que nous pénétrons dans le Bellum Commercum pour un voyage "incognito" jusqu'à notre destination.
La pièce dans laquelle nous sommes installé est sobre et d'un ennui sans nom, je sens déjà que le voyage va être long tant les distractions sont rares. Cela est d'autant plus vrai que les personnes à bord respectent l'empire et éveille en moi et en mes compagnons nos instincts les plus primaires. Cela va être compliqué de cacher notre vraie nature...
C'est au détour d'un couloir que nous rencontrons un homme circulant assis sur une machine roulante et faisant des rapports détaillés des infractions qu'il perçoit.
Frederix comme il se fait appelé, est un gros porc zélé monté sur roulette faisant son office à bord du Bellum Commercum, il faudra soigneusement l'éviter tant il semble prompt à la suspicion et à l'enquête.
Le temps suit sont cours et nous rencontrons quelques autres passagers intéressants dont une soeur de l'Adeptus Sororitas, Bahly Mercora qui finit par entamer la conversation avec Sera Hilde. Nous entamons aussi un jeu de carte avec quelques commerçants peu portés à la discussion, le tout sous le regard suspicieux de quelques membres qui lorgnent sur les Space Marine qui nous accompagnent... quel ennui... la vie au sein de l'empire est telle que je me l'imaginais... ennuyeuse et idiote...
C'est au détour d'un couloir qu'Osvald fait volte face avec l'un de nos "suiveurs" pour s'enquérir de ses intentions. On apprendra finalement que l'homme agit de son chef et surveille les individus suspects à bord... Soit...
Nous sommes un instant, poussés, surtout Osvald à vrai dire, à visiter les étages qui nous sont interdits. L'envie a vite pris le pas sur notre besoin de discrétion à bord et je ne regrette toujours pas nos actions... même après avoir été intercepté et contrôlé par ce Frederix... Il est parti prestement en emportant nos faux papiers qu'on venait de lui remettre sans résistance aucune... je ne saurais expliquer ce qui nous est passé par la tête mais peut-être qu'au fond de nous même nous souhaitions nous faire prendre.
Les ennuis sont (enfin) arrivés et un groupe d'Arbitrator a fait irruption dans notre chambre pour nous mener devant le commandant du vaisseau qui venait d'être informé de la contrefaçon de nos papiers... Moi, Osvlad et Sigmund nous tenions la devant l'injonction du commandant à nous expliquer... Le temps passait... nous échangions par la pensée quelques idées qui auraient pu nous servir en cet instant mais rien ne vint.
J'aurais pu paniquer, oui... mais l'expérience passée à servir Tzeentch m'a au moins appris que rien n'arrive par hasard. Je reste convaincu qu'Osvald était guidé par lui quand il a remit ses papiers et que j'en ai fait de même.
Ça a délicieusement dégénéré, j'ai pu appeler les autres en renfort alors que les Arbitrators nous saisissaient et tous on vu leur existence prendre fin dans l’exiguïté de cette cabine du Z1. Le sang recouvrait les murs, les corps meurtris jonchaient le sol et dans le chaos absolu de cette pièce dévastée je me sentais enfin chez moi. Mon arme démon vibrait encore des coups que j'avais porté et le sang ruisselant sur son manche excitait encore ses sens. Karnak dont les nombreux yeux rougeoyants parcouraient inlassablement les alentours sans jamais me porter un seul regard était à présent attentif et me fixait... j'étais enfin digne de ses attentions.
Frederix fut amené à l'aide d'Osvald qui avait trafiqué sa chaise dans la pièce ou nous étions et où il connu le même sort que tous les autres. Je regrettais cependant de ne pas avoir tenté de le convertir au chaos, un pacte pour lui rendre ses jambes aurait pu le conduire sur les chemins du chaos et en faire un allié de choix à bord du Bellum Commercum. Sera, elle, était à terre, inconsciente, inerte et rien ne semblait pouvoir la ramener parmi nous. On l'emporta avec nous en quittant les lieux pour retourner à nos appartements en espérant ne pas être observé.
La quiétude ne dura qu'un temps et des troupes d'Arbitrators arrivèrent et fouillèrent inlassablement chaque chambre, emportant hommes et femmes sans que l'on connaissent les critères menant au choix de celui-ci ou celle-la. Sera, qu'on avait caché inconsciente dans les toilettes fut emmenée on ne sait où.
Pendant ce temps Hans et Sigmund, les deux Space Marine à bord furent dépêché par la nouvelle commandant en chef, Elena Pierce, pour mener l'enquête sur la mort de son prédécesseur.
On passa beaucoup de temps à se demander comment on allait procéder... Je me mis alors à rechercher Sera en sondant le warp et essayant de repérer son arme démon à bord du vaisseau. Ma surprise fut grande quand je trouve non pas une mais deux armes démon à bord. Cette nouvelle arme m'était hostile et il me fallu une grande force mentale pour résister à ses assauts psychiques à mon égard.
Hans que je savais lié à cette arme parti avec Sigmund en quête de celle-ci, le contact fut vite rompu une fois au plus près de celle-ci. Hans ne revint que plus tard, une nouvelle arme à la main. Sigmund était revenu plus tôt à ma demande et était parti chercher Sera à la position que je lui avait transmise, il revient plus tard avec elle. Nous étions à nouveau réuni.
D'un accord commun on massacra plusieurs arbitrators dans une pièce choisie presque au hasard et la scène fut maquillée pour ressembler aux agissements de partisans du Chaos. Cela ne semblait pas convenir à Elena Pierce qui semblait encore méfiante mais elle finit par accepter cette explication sans plus de résistance.
Encore quelques jours et nos pieds allaient fouler le sol de Saint-Annard.
D'Somer s'est avérée une allié de choix pour parvenir à nos fin, je me réjouis déjà de l'avoir préféré à ce répugnant Borschmann.
Nous nous retrouvons, grâce à son aide, à bord d'un vaisseau de commerce du nom de Bellum Commercum faisant escale à Saint-Annard. Le plan est simple et ne devrait normalement pas avoir à subir la moindre anicroche. Nous représenterons des inquisiteurs en visite sur la planète prison, sachant que les vrais, eux, n'arriveront que bien plus tard, 1 semaine après.
C'est donc en inquisiteur de l'Empire que nous pénétrons dans le Bellum Commercum pour un voyage "incognito" jusqu'à notre destination.
La pièce dans laquelle nous sommes installé est sobre et d'un ennui sans nom, je sens déjà que le voyage va être long tant les distractions sont rares. Cela est d'autant plus vrai que les personnes à bord respectent l'empire et éveille en moi et en mes compagnons nos instincts les plus primaires. Cela va être compliqué de cacher notre vraie nature...
C'est au détour d'un couloir que nous rencontrons un homme circulant assis sur une machine roulante et faisant des rapports détaillés des infractions qu'il perçoit.
Frederix comme il se fait appelé, est un gros porc zélé monté sur roulette faisant son office à bord du Bellum Commercum, il faudra soigneusement l'éviter tant il semble prompt à la suspicion et à l'enquête.
Le temps suit sont cours et nous rencontrons quelques autres passagers intéressants dont une soeur de l'Adeptus Sororitas, Bahly Mercora qui finit par entamer la conversation avec Sera Hilde. Nous entamons aussi un jeu de carte avec quelques commerçants peu portés à la discussion, le tout sous le regard suspicieux de quelques membres qui lorgnent sur les Space Marine qui nous accompagnent... quel ennui... la vie au sein de l'empire est telle que je me l'imaginais... ennuyeuse et idiote...
C'est au détour d'un couloir qu'Osvald fait volte face avec l'un de nos "suiveurs" pour s'enquérir de ses intentions. On apprendra finalement que l'homme agit de son chef et surveille les individus suspects à bord... Soit...
Nous sommes un instant, poussés, surtout Osvald à vrai dire, à visiter les étages qui nous sont interdits. L'envie a vite pris le pas sur notre besoin de discrétion à bord et je ne regrette toujours pas nos actions... même après avoir été intercepté et contrôlé par ce Frederix... Il est parti prestement en emportant nos faux papiers qu'on venait de lui remettre sans résistance aucune... je ne saurais expliquer ce qui nous est passé par la tête mais peut-être qu'au fond de nous même nous souhaitions nous faire prendre.
Les ennuis sont (enfin) arrivés et un groupe d'Arbitrator a fait irruption dans notre chambre pour nous mener devant le commandant du vaisseau qui venait d'être informé de la contrefaçon de nos papiers... Moi, Osvlad et Sigmund nous tenions la devant l'injonction du commandant à nous expliquer... Le temps passait... nous échangions par la pensée quelques idées qui auraient pu nous servir en cet instant mais rien ne vint.
J'aurais pu paniquer, oui... mais l'expérience passée à servir Tzeentch m'a au moins appris que rien n'arrive par hasard. Je reste convaincu qu'Osvald était guidé par lui quand il a remit ses papiers et que j'en ai fait de même.
Ça a délicieusement dégénéré, j'ai pu appeler les autres en renfort alors que les Arbitrators nous saisissaient et tous on vu leur existence prendre fin dans l’exiguïté de cette cabine du Z1. Le sang recouvrait les murs, les corps meurtris jonchaient le sol et dans le chaos absolu de cette pièce dévastée je me sentais enfin chez moi. Mon arme démon vibrait encore des coups que j'avais porté et le sang ruisselant sur son manche excitait encore ses sens. Karnak dont les nombreux yeux rougeoyants parcouraient inlassablement les alentours sans jamais me porter un seul regard était à présent attentif et me fixait... j'étais enfin digne de ses attentions.
Frederix fut amené à l'aide d'Osvald qui avait trafiqué sa chaise dans la pièce ou nous étions et où il connu le même sort que tous les autres. Je regrettais cependant de ne pas avoir tenté de le convertir au chaos, un pacte pour lui rendre ses jambes aurait pu le conduire sur les chemins du chaos et en faire un allié de choix à bord du Bellum Commercum. Sera, elle, était à terre, inconsciente, inerte et rien ne semblait pouvoir la ramener parmi nous. On l'emporta avec nous en quittant les lieux pour retourner à nos appartements en espérant ne pas être observé.
La quiétude ne dura qu'un temps et des troupes d'Arbitrators arrivèrent et fouillèrent inlassablement chaque chambre, emportant hommes et femmes sans que l'on connaissent les critères menant au choix de celui-ci ou celle-la. Sera, qu'on avait caché inconsciente dans les toilettes fut emmenée on ne sait où.
Pendant ce temps Hans et Sigmund, les deux Space Marine à bord furent dépêché par la nouvelle commandant en chef, Elena Pierce, pour mener l'enquête sur la mort de son prédécesseur.
On passa beaucoup de temps à se demander comment on allait procéder... Je me mis alors à rechercher Sera en sondant le warp et essayant de repérer son arme démon à bord du vaisseau. Ma surprise fut grande quand je trouve non pas une mais deux armes démon à bord. Cette nouvelle arme m'était hostile et il me fallu une grande force mentale pour résister à ses assauts psychiques à mon égard.
Hans que je savais lié à cette arme parti avec Sigmund en quête de celle-ci, le contact fut vite rompu une fois au plus près de celle-ci. Hans ne revint que plus tard, une nouvelle arme à la main. Sigmund était revenu plus tôt à ma demande et était parti chercher Sera à la position que je lui avait transmise, il revient plus tard avec elle. Nous étions à nouveau réuni.
D'un accord commun on massacra plusieurs arbitrators dans une pièce choisie presque au hasard et la scène fut maquillée pour ressembler aux agissements de partisans du Chaos. Cela ne semblait pas convenir à Elena Pierce qui semblait encore méfiante mais elle finit par accepter cette explication sans plus de résistance.
Encore quelques jours et nos pieds allaient fouler le sol de Saint-Annard.
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